La danse rythmée et virtuose des mulâtres
En espagnol, au temps de la colonisation, le contremaître "caporal" est choisi par le grand propriétaire terrien des "haciendas" pour surveiller les esclaves au travail, et jouissait pour cela de certains privilèges. Il pouvait être indifféremment noir ou blanc (souvent mulatre), mais il était dans tous les cas très craint des esclaves pour son autorité, sa rudesse et les mauvais traitements qu'il pouvait infliger.
La danse des "caporales" exprime la majestuosité et l'autorité des "caporales" dans la diversité et les couleurs du costume et dans la force de la chorégraphie. La danse est très rythmée et acrobatiques .
Le rythme est marqué par les cloches que le "caporal" porte attachées aux bottes et qui représentent les chaînes qui portaient les esclaves.
La danse des "caporales" s'inspirent de la Saya et du Tundiqui, rythmes traditionnels des Yungas boliviens (zone tropicale de la Bolivie qui comptait de nombreuses haciendas).
Le rôle de la femme dans cette danse est important. Elle bouge rapidement les hanches, les épaules et agite les mains, avec des petits pas à contretemps. Elle porte unejupe très courte et une blouse brodée.
La danse des "caporales" exprime la majestuosité et l'autorité des "caporales" dans la diversité et les couleurs du costume et dans la force de la chorégraphie. La danse est très rythmée et acrobatiques .
Le rythme est marqué par les cloches que le "caporal" porte attachées aux bottes et qui représentent les chaînes qui portaient les esclaves.
La danse des "caporales" s'inspirent de la Saya et du Tundiqui, rythmes traditionnels des Yungas boliviens (zone tropicale de la Bolivie qui comptait de nombreuses haciendas).
Le rôle de la femme dans cette danse est important. Elle bouge rapidement les hanches, les épaules et agite les mains, avec des petits pas à contretemps. Elle porte unejupe très courte et une blouse brodée.